Anaïs, douze ans, se trouve complexée par son poids. Tapie dans l’ombre ou laissée pour compte, elle souffre intérieurement. C’est l’été, la mer, les vacances en famille, l’apprentissage du premier amour. Cet apprentissage, Anaïs le fait en observant sa sœur aînée Eléna. Celle-ci, quinze ans, incarne la beauté du diable. Pas plus intelligente, ni plus bête que sa cadette, elle rejette l’idée de n’être qu’un objet de désir. La perte de la virginité des filles va ouvrir la porte au drame.